Les Svoloch,
"Littéralement les bâtards, les racailles."
Plus poétiquement, "les enfants perdus de la Neva."
Plus poétiquement, "les enfants perdus de la Neva."
Ce sont de jeunes vampires de la génération consécutive à la chûte de l'URSS (années 1990). Des orphelins d'une époque moderne troublée, où les vieilles traditions Secrètes de Saint-Petersbourg se délitent. Bien souvent étreints à la va vite, ou bien abandonnés au mépris de toutes lois par un Sir peu attentif, ils n'ont jamais été éduqués, jamais éveillés aux traditions de leur race. Alors ils survivent, en gangs, en bandes de sauvages, en marge de ce monde nocturne où la Vieille Aristocratie prédatrice n'a pour eux que dédain et mépris.
Ils sont jeunes, ils sont fougueux, et personne ne leur a appris à canaliser les instincts de la Bête. Des rebelles - mouvement punk et contre-culture - qui rejettent ce monde, autant que ce dernier les isole. Au diable les autres clans, et leurs lois contraignante, les Svoloch, vivent chaque nuit comme si c'était la dernière et se foutent de tout et de tout le monde. En colère, ivres d'une violence instinctive mal canalisées, ils revendiquent haut et fort leur liberté et ce « ni Tsar, ni diable » qui fait grincer des dents aux autres clans.
Ils sont jeunes, ils sont fougueux, et personne ne leur a appris à canaliser les instincts de la Bête. Des rebelles - mouvement punk et contre-culture - qui rejettent ce monde, autant que ce dernier les isole. Au diable les autres clans, et leurs lois contraignante, les Svoloch, vivent chaque nuit comme si c'était la dernière et se foutent de tout et de tout le monde. En colère, ivres d'une violence instinctive mal canalisées, ils revendiquent haut et fort leur liberté et ce « ni Tsar, ni diable » qui fait grincer des dents aux autres clans.
Certains disent qu'ils sont le symbole du vampire 2.0 et de cette nouvelle Russie qui aspire à la liberté. Des jeunes immortels qui finiront par renverser l'ancien monde et faire de Saint-Petersbourg une Ville moins cloisonnée. Mais pour d'autres, ils ne sont qu'un syndrome de plus de la décadence. Les avatars sauvages, à peine éduqués, d'une société qui a perdu tout ses repères et sombre doucement mais sûrement dans l'Anarchie.